De nos jours, la création d’entreprise nécessite diverses compétences. Cette phase comporte une pléthore de démarche à suivre. La société doit suivre des formalités juridiques. Le cabinet d’experts dispose les savoir-faire requis pour créer une société. L’expert accompagne le dirigeant durant la phase de création. Voici les étapes à suivre pour la création de société.

Etude de marché : étape cruciale lors de la création d’entreprise

La société vit dans un environnement en perpétuel changement. Le marché est très concurrentiel. En amont, le promoteur établi le projet. La création d’entreprise passe par l’étude de marché. Cette phase est le pilier de réalisation du chiffre d’affaires. Le dirigeant identifie ces cibles ainsi que ses besoins. La société propose un produit permettant de satisfaire les dits besoins. Ce mécanisme est connu sous le nom de la segmentation du marché. L’analyse de marché compose plusieurs volets. L’entreprise choisit son canal de distribution. Elle désigne au préalable ses points de vente. L’étude se focalise sur le prix de vente. Ce dernier doit s’aligner au pouvoir d’achat des clients. Dès sa création, l’entreprise doit prévoir ses promotions de vente. C’est le cas de la publicité ou échantillonnage.

L’étude de marché permet d’obtenir des informations pertinentes et exhaustives. Le promoteur élabore la stratégie marketing sur la base de ces données. L’analyse stratégique se termine par le marketing opérationnel.

La loi impose les formalités administratives pour les entreprises. La rédaction du statut est délicate. Le statut encadre la vie de la société. C’est un acte juridique sous-seing notarié ou privé. Il existe des mentions obligatoires à insérer sur le statut. La société y appose sa forme juridique. Avant de créer une entreprise, le régime social et fiscal est à préciser. Pour plus d’info, veuillez cliquer sur www.creation-entreprises.info

Création d’entreprise : avec un business plan bien fignolé

L’entreprise fonctionne via un capital financier. Le dirigeant peut recourir à divers types de financement. Le crédit auprès des institutions financières est le plus sollicité. À côté, des apporteurs de capitaux figurent les apporteurs en nature. Les start-up, grandes entreprises ou petite et moyenne entreprise peut recourir à ces bailleurs. Toutefois, pour attirer les détenteurs de capitaux, le promoteur doit établir un business plan. Ce document reflète la pertinence du projet. L’établissement d’un business plan est l’œuvre d’expert. Le document affecte l’enthousiasme des investisseurs. L’entrepreneur a intérêt à opter pour un financement au meilleur coût. En outre, les apports en nature accroissent la capacité financière de la société. Le promoteur peut faire appel aux apporteurs de capital en nature.

L’Etat octroi des aides aux chômeurs qui souhaite créer une société. Certaines institutions financières fournissent un taux préférentiel aux personnes privilégiées. Les femmes entrepreneuses bénéficient des aides spécifiques. Il existe une panoplie d’aides à la création d’entreprise.

L’état financier prévisionnel permet d’anticiper la performance d’une entreprise. Le bilan prévisionnel met en exergue la situation financière de la société. Les prestataires en finance assistent l’entrepreneur pour le succès du projet. La prévision permet de mesurer la viabilité d’une société. Le budget prévisionnel offre un aperçu sur la rentabilité. La prévision financière fournit divers indicateurs. L’approche estimative affiche la marge bénéficiaire et le besoin en fonds de roulement. Le plan de trésorerie performe la gestion des liquidités.

Créer son entreprise avec une équipe expérimentée et qualifiée

Le capital humain constitue un élément crucial pour une société. Avant de débuter son business, il est préférable de constituer une équipe compétente et dynamique. L’expérience joue aussi un rôle principal. Dès le début, l’entrepreneur doit déterminer les facteurs de motivation de son personnel.

En confiant la création d’une entreprise aux experts, le dirigeant aura un gain de temps considérable. L’entrepreneur pourra aussi concentrer sur d’autres priorités. Vous pouvez trouver une agence de création directement en ligne. Il est primordial de considérer l’expérience et la notoriété de l’agence. Les créateurs d’entreprise optimisent la gestion de votre société. Ils connaissent toutes les étapes du développement d’une société.

En tant que femme, vous êtes motivée et vous souhaitez créer votre propre entreprise ? Sachez que de plus en plus de femmes qui aspirent l’indépendance gagnent leur place dans le monde de l’entrepreneuriat. Malgré le nombre de freins et les préjugés longtemps portés au genre féminin, beaucoup d’entre elles n’hésitent plus de se lancer dans cette belle aventure. C’est l’occasion de s’intéresser aux différentes aides existantes, adressées aux femmes qui veulent entreprendre. Libre à vous de déployer vos ailes grâce aux nombreux dispositifs et actions menées spécialement pour la promotion de l’entrepreneuriat féminin.

Les aides destinées à tous les entrepreneurs

En premier lieu, différentes aides s’adressent aussi bien aux femmes qu’aux hommes entrepreneurs. Ces aides sont donc tout à fait convenables pour une femme qui veut lancer son projet ou son activité. A titre d’exemple, le microcrédit est un type de prêt qu’on peut vous accorder s’il est impossible pour vous d’accéder au système bancaire classique à cause des revenus insuffisants. Divers organismes proposent ce genre d’aide financière comme l’Adie. Dans cette même catégorie, il existe un dispositif d’accompagnement avec lequel vous pouvez faire une souscription d’un prêt à taux zéro qu’on appelle le Nacre, mais sous des conditions. Pour entreprendre au féminin, cela peut vous aider afin de bien débuter dans l’aventure de l’entrepreneuriat. Par ailleurs, on connait le prêt d’honneur. C’est un prêt qui va permettre de vous former un apport personnel pour accéder à un emprunt bancaire plus facilement. Le plus agréable dans ce type de prêt est le fait que vos biens personnels ne sont en aucun cas soumis à des intérêts ni à des garanties. Pour vous aider à y voir plus clair, cette page vous sera d’une grande aide.

Les aides financières mises en place pour les entrepreneuses

Plusieurs aides financières sont aujourd’hui au service des femmes qui veulent entreprendre. A savoir avant tout la garantie EGALITE Femmes : une aide qui a été mise en place pour permettre cette fois juste aux femmes d’obtenir un prêt bancaire d’une manière plus facile. C’est donc une très bonne option pour pouvoir financer le projet entrepreneurial d’une femme. Il faut tout de même être une femme qui reprend ou a repris une entreprise depuis 3 ans au plus. Ensuite, il existe des aides spécifiques aux entrepreneuses, procurées par des collectivités territoriales. Les plans d’actions régionaux font partie de ces aides dont chacun de ces plans destinés aux femmes se diversifie d’une région à une autre. En réalité, non seulement ils prévoient des aides financières, mais vont également accompagner le projet et offrir des partenariats. Voilà des aides qui méritent d’être observées lorsqu’il s’agit d’entreprendre au féminin. Mais en plus de cela, il y a des associations locales qui peuvent aussi bien vous appuyer financièrement comme Racines, origine des CLEFE : des clubs regroupant des personnes qui accompagnent des entrepreneuses au niveau financier.

Les organismes d’accompagnement pour guider les femmes entrepreneures

Trouver une aide financière n’est pas le seul souci quand on veut entreprendre au féminin. Il faut également et surtout faire face à la gestion de la vie et du développement de son entreprise. C’est justement pour cette raison que des organismes spécialisés existent afin d’aider une entrepreneuse sur différents points. Il s’agit de l’élaboration d’un business plan, d’un coaching, des formations ou des conseils et beaucoup d’autres sujets. Sur le plan régional, on connait les associations comme Femmes Actives Mouv et EFOIR (Entreprendre au féminin, Océan Indien Réunion). D’autres organismes et associations nationaux comme Adie proposent une aide aux assurances ainsi qu’un accompagnement aux femmes qui souhaitent devenir entrepreneuses. Force Femme est spécialement dédiée aux femmes de 45 ans et plus, et Egalitère accompagne et forme des créatrices d’entreprise. On trouve également Hellowilla, une association qui propose aussi ce genre d’aide sous différentes formules, avec un espace de coworking, un partage et un réseau. En effet, certains des organismes et associations concernent une région ou un secteur en particulier. Certaines associations peuvent apporter leur aide en ligne , tandis que d’autres, proposent des rencontres physiques. Trouvez juste celle qui vous convient le plus.

Les réseaux établis pour promouvoir l’entrepreneuriat féminin

Dans le but de développer sa propre entreprise, il est essentiel d’avoir des réseaux. En effet, les réunions entre plusieurs entrepreneuses continuent de se multiplier afin de motiver et soutenir les femmes dans l’entrepreneuriat. Certains concernant les femmes chef d’entreprise sont plus adaptées pour leur donner de l’aide au développement de leur entreprise. La plupart de ces réseaux organisent souvent des évènements qui vont permettre de mettre en valeur les entrepreneuses. Il peut s’agir d’un concours, de rencontres et d’autres types d’évènement. Ces réseaux contribuent ainsi au complément du panel d’aides proposé aux femmes entrepreneures. On peut citer par exemple Actionn’elles pour les femmes qui veulent créer une entreprise et le Mampreneures spécialement pour les mamans. De nombreux réseaux de femmes entrepreneures comme Les Audacieuses, Femme Business Angels ou encore Les Premières existent également pour permettre aux femmes de se rencontrer, se réunir et se partager leurs expériences. Ainsi, ils sont là pour donner de nombreux conseils à celles qui souhaitent se lancer et avancer dans le monde de l’entrepreneuriat.

Motivé par le besoin de défendre vos pairs, vous souhaitez devenir délégué syndical ? Vous devez vous informer à propos des conditions requises pour occuper ce poste. Ainsi, vous augmentez vos chances de vous faire élire par le syndicat et l’ensemble des salariés de votre entreprise.

Les rôles et les avantages du délégué syndical

Comme son nom l’indique, le délégué syndical CSE est le représentant du syndicat des salariés d’une entreprise. Il a pour rôle de jouer l’intermédiaire entre l’entité qu’il représente et les responsables de la société. Ils leur transmettent les requêtes qui lui sont transmises. Son travail exige une grande disponibilité. Ils participent aux différentes réunions qui concernent les élections, l’emploi et la formation. En somme, si vous êtes désigné pour occuper cette fonction, vous devez défendre les intérêts des employés auprès des dirigeants de l’entreprise. Cliquez ici pour plus d’infos.

En occupant cette fonction, vous profitez d’un avantage non négligeable : vous êtes à l’abri du licenciement. Vous avez également droit à un congé pour vous former. À ce propos, vos connaissances en droit du travail augmentent. Il en est de même pour vos capacités à diriger une équipe. Comparé aux autres salariés, vous profitez d’une plus grande liberté d’action et de déplacement. Lorsque vous convoquez vos collègues à une réunion, l’entreprise met à votre disposition une salle.

Vous avez également droit à des crédits d’heure mensuels, de 20 heures, durant lesquels vous exercez votre fonction de délégué du syndicat. Ce temps peut être revu à la hausse selon les situations. Vous pouvez même effectuer des heures supplémentaires, qui sont rémunérées, en cas de besoin. D’après le Code du travail, différents documents sont mis à votre disposition pour que vous puissiez travailler correctement. Parmi eux figurent le bilan annuel de l’entreprise et le bilan social. Enfin, vous pouvez obtenir de l’aide d’un avocat CSE si nécessaire.

Les critères à remplir pour devenir délégué syndical

Tout employé ayant travaillé au sein d’une entreprise pendant 1 an peut occuper cette fonction. S’il s’agit d’un établissement ouvert récemment, cette durée est réduite à 4 mois. Il doit être majeur et faire partie du syndicat existant. Il doit également avoir obtenu l’aval de son supérieur hiérarchique.

Si l’effectif de l’entreprise ne dépasse pas les 300 employés, l’élu occupe à la fois le poste de représentant du personnel cse et celui de délégué syndical durant son mandat. Afin d’exercer correctement sa double fonction, il doit également être polyvalent. Il doit disposer de plusieurs qualités, telles qu’une bonne capacité d’écoute et l’ouverture d’esprit. Il doit être convaincu de l’importance de défendre les droits des employés. Il doit également être capable de gérer et de programmer des réunions. Il doit disposer des droits de voter, c’est-à-dire qu’il ne doit ni être soumis à une interdiction ni faire l’objet d’une déchéance. Enfin, il doit avoir été candidat aux élections professionnelles et avoir obtenu plus de 10 % des voix.

Si vous répondez à ces critères, vous pouvez déposer votre candidature pour devenir délégué syndical. Pour cela, vous devez faire part de votre décision à votre syndicat. En même temps, vous devez leur montrer que vous êtes prêt à vous engager pour défendre les droits de vos collègues. Vous pouvez attirer l’attention des électeurs en démontrant vos motivations.

Les travailleurs temporaires et les autres cas

Les travailleurs temporaires peuvent demander à représenter le personnel s’ils ont travaillé pour l’entreprise pendant 6 mois, au moins. Il est également important que la durée totale de votre contrat soit supérieure ou égale à 18 mois. Il arrive parfois que les candidats aux élections ne remplissent pas tous ces critères ou que ceux qui y répondent renoncent au poste. Dans ce cas, il existe quelques mesures dérogatoires que le syndicat peut prendre (article L.2143-3, alinéa 2, Code du travail). Il peut accepter la candidature d’autres personnes. En cas de désistement des candidats potentiels, ils doivent en informer les responsables par écrit.

Ainsi, vous pouvez également postuler pour être délégué syndical si vous êtes un ancien élu et que vous avez effectué successivement 3 mandats au CSE (comité social et économique). Les employés qui ne font pas partie de ces catégories peuvent aussi tenter leur chance, à l’exception du chef d’entreprise. Il s’agit d’une disposition énoncée par l’article L.2314-33 du Code du travail.

Auparavant, la législation était stricte concernant l’obtention des 10 % des voix aux suffrages professionnels. Des exceptions étaient prévues, mais elles étaient restrictives. L’intervention de la jurisprudence était requise. Cette flexibilité date de l’apparition de l’article 2343-3 alinéa 2 du Code du travail.

Les connaissances requises

La maitrise du droit du travail est un atout pour tout représentant du personnel. Cependant, il n’est pas nécessaire d’être un juriste pour assurer cette fonction. Il n’existe aucune connaissance en assistance juridique CSE requise pour postuler. D’ailleurs, la majorité des élus ne sont pas diplômés dans ce domaine. Toutefois, ils reçoivent des formations une fois élus.

Le délégué syndical bénéficie d’un stage avant de prendre son poste. En général, il dure 18 jours, au plus. Il a pour but d’améliorer ses compétences en négociation, importantes pour la défense des employés. En effet, il doit être en mesure de convaincre ses interlocuteurs. Le stage a souvent lieu au sein d’un centre spécialisé reconnu par les syndicats. Les établissements universitaires et les organismes agréés par l’État sont aussi en mesure de dispenser les enseignements qui lui sont nécessaires. Il est à noter que l’État participe aux frais de formations des délégués syndicaux dans les établissements reconnus.

Cette formation CSE est un droit pour les délégués syndicaux. Toutefois, l’employeur doit être mis au courant de la décision de se former au plus tard, 30 jours avant le congé. Pour cela, l’employé concerné lui adresse un courrier contenant la date du début du stage ainsi que sa durée. Le nom de l’établissement formateur doit également y figurer. Si vous souhaitez représenter votre syndicat, vous devez vous soumettre à cette exigence.

La désignation du délégué syndical

Le nombre de délégués syndicaux est défini en fonction de l’effectif des salariés au sein d’une entreprise. Il en faut 1 pour celle qui emploie entre 50 et 999 personnes, 2 pour celle qui fait travailler 1000 à 1999 personnes, et 3 pour une entreprise de 2000 à 3999 salariés. Si l’effectif est entre 4000 et 9999 employés, le syndicat peut désigner 4 représentants. Au-delà de ces chiffres, le nombre de délégués syndicaux autorisé est de 5.

Pour la désignation, une liste de candidats est remise au syndicat qui doit établir la liste définitive, selon les critères préétablis. L’élection se déroule dans le cadre d’un vote secret et les électeurs soumettent leur voix sous enveloppe. Une deuxième tour peut être prévue en cas de besoin. Après l’élection, un procès-verbal est remis à l’inspecteur du travail et aux dirigeants de l’entreprise. À la fin du processus électoral, le nom du délégué est communiqué officiellement à toutes les entités concernées. Vous souhaitez vous faire élire ? Se présenter à l’élection du Comité économique et social peut accroître vos chances. Le mandat de ce comité dure 4 ans.


Vous avez envie d’apporter de la rénovation à votre entreprise pour but d’avoir des résultats plus cohérents et qualitatifs. L’utilisation d’un logiciel de fiscalité résoudra votre problème. Il  apporte de multiples avantages à la gestion. C’est un système fiable et simple qui détermine l’intégration, la traçabilité et la conformité de chaque opération.  

Un logiciel simple et efficace

Il est très important pour les chefs d’entreprise de faire une présentation fiable et bien préparée. La technologie a fait des merveilles pour cela. Des logiciels ont été conçus pour faciliter la gestion de la fiscalité. Toutes les démarches administratives sont simplifiées grâce à l’utilisation des logiciels. Le responsable financier de l’entreprise bénéficie de l’aide fourni par les performants outils du logiciel de fiscalité. Les données sont sûres, car avec un logiciel le taux de probabilité pour qu’un comptable fasse l’erreur est très faible.

Il existe plusieurs types de logiciel de fiscalité, mais le choix d’achat doit se concrétiser sur la taille et l’activité de l’entreprise. L’entreprise doit choisir un logiciel qui répond à ses attentes. C’est un outil qui peut faire des traitements de vente, des suivies de revenus, de dépenses, l’établissement de l’état financier et l’accès facile au formulaire de déclarations fiscales d’impôts et de taxes. Pour avoir un peu plus d’informations sur l’utilisation d’un logiciel fiscal, veuillez visiter le site voir ici

L’utilisation du logiciel de fiscalité permet à son utilisateur de gagner du temps, car il automatise tous les calculs. En outre, il transmet les résultats vers les services de l’impôt. Ainsi, les données financières sont crédibles et cohérentes.

Un outil plus qu’indispensable

Le logiciel de fiscalité est un outil indispensable à la gestion d’une entreprise. Si vous êtes auto entrepreneur, vous pouvez dénicher des outils intuitifs et efficaces. Ils offrent un guide complet pour la gestion financière d’une PME. La déclaration de chiffre d’affaires est obligatoire pour chaque auto entrepreneur. Sa fréquence varie selon l’activité, elle peut se faire mensuellement ou à chaque trimestre. Il doit aussi déclarer son revenu chaque année consécutive de son exercice.

Pour ne pas courir des risques de sanctions de retard, le logiciel vous aidera à déclarer votre chiffre d’affaires dans les meilleurs délais. Toutes les opérations sont automatisées y compris les éditions de tous les documents de synthèses. Le logiciel permet un accès facile et cohérent du contrôle fiscal. Cette expertise peut se faire alors à distance.

Un mode d’intégration pratique

Avec l’utilisation de logiciel de fiscalité, l’importation des données comptables est automatisée. La reproduction des liasses est plus aisée. L’intégration fiscale est une manière d’examiner en entier les résultats des filiales de l’entreprise. Ce sont les déclarations que l’entreprise doit absolument faire. Elles sont composées par des obligations sociales et fiscales.

Des déclarations sociales et fiscales régissent l’entreprise. Pour le premier cas, la société doit déclarer au syndicat ses nouveaux employés et les accidents de travail s’il y a lieu. En ce qui concerne l’obligation fiscale, le logiciel remplit automatiquement les liasses fiscales telles que la déclaration et l’affectation des résultats, les bilans de l’immobilisation et de l’amortissement ainsi que les tableaux de provision, de créance et de valeurs ajoutées.

Une traçabilité et une conformité optimale

Grâce à l’usage du logiciel de fiscalité, il est possible d’archiver tous les documents suivant la période de l’exercice. Les fichiers sont sécurisés, car seuls ceux qui ont le code pour l’accès du système peuvent regarder les documents. Le logiciel permet à la confidentialité totale de toutes les bases de données archivées. Toutes les opérations comptables et fiscales mensuelles et annuelles sont enregistrées. Mais aussi, tous les historiques des échanges que la société a effectués sont aussi notés par le logiciel.

Le logiciel de fiscalité assure la prise en compte de toutes les règlementations et les gestions fiscales de l’entreprise. Avec la diversification des taxes et impôts et la difficulté de la législation fiscale, les chefs de l’entreprise devront faire des vérifications temporaires. Actuellement, le régime de micro entreprise est imposé à toutes les sociétés. Des mesures particulières sont conçues pour guider les entreprises. Il existe un régime micro bnc, c’est un système intéressant pour les sociétés qui exercent dans l’activité à titre non commercial.

La simplification des formalités administratives et comptables est l’avantage de sociétés issues de ces régimes. Le régime micro BNC ne facture pas le TVA, c’est un atout non négligeable. Pourtant, ce régime est fait pour les sociétés industrielles et commerciales à titre professionnel. Les sociétés regroupées dans le régime micro Bic sont assujetties par des règles de taxations bien déterminées. Ces dernières sont calculées à partir du chiffre d’affaires. C’est l’intérêt d’utiliser le logiciel de fiscalité pour pouvoir calculer facilement les dispositions règlementaires fiscales.

Le logiciel de fiscalité assure aussi la prise en compte des situations dérogatoires comme les amortissements fiscaux qui pourront être des facteurs de déduction.

Le business plan est un document qui résume les objectifs commerciaux, opérationnels et financiers d’une entreprise sur une période donnée. Plus simplement c’est une feuille de route qui explique comment vous allez pouvoir passer d’un point A à un point B en x années. C’est votre GPS pour votre future entreprise.


Le but d’un business plan, c’est de synthétiser l’ensemble de son projet commercial en une trentaine de pages de façon rigoureuse et structurée.


Trop nombreux sont les entrepreneurs qui n’arrivent pas à rédiger un business plan correctement. Cela est problématique dans la mesure ou un business plan peut servir de support pour une demande de financement.


C’est pour cela que nous avons regroupé les 10 astuces pour rédiger son business plan.

  1. Les recherches.

Faites une étude de marché pour connaître votre marché cible, les habitudes de consommation, vos concurrents, leurs points forts et leurs points faibles. Une fois que vous aurez réalisé tout ça; il sera plus simple pour vous d’instaurer du contenu dans votre business plan.


  1. Réaliser un brouillon.

Comment démarrer son business plan ? Ne vous lancez pas directement dans la rédaction de votre business plan. Faites un brouillon pour connaître le sens de la rédaction. Comment allez-vous commencer ? Rien ne sert de rédiger, il suffit juste de mettre des tirets. Vous pouvez aussi structurer votre démarche à l’aide d’outils comme les cartes mentales.


  1. Trouver un modèle de business plan.

Pourquoi partir d’une feuille blanche quand des experts ont déjà fait toute les recherches pour vous ? C’est un véritable gain de temps pour vous. Utilisez un modèle de business plan modifiable que vous pourrez mettre à jour avec votre société mais qui sera 100% pré-rempli pour vous.


  1. Rédiger l’introduction.

Pour faire un business plan, l’introduction doit être consacrée à l’executive summary (résumé opérationnel). Cette partie du business plan d’une ou deux pages avec des informations importantes sur votre restaurant est primordial. Grâce à ce document,  votre interlocuteur doit comprendre votre service proposé, votre marché et le lieu.

  1. Présenter l’équipe.
    Pour créer un business plan personnalisé il est essentiel de présenter chaque personne de l’équipe fondatrice. Il faut présenter la formation, le parcours et les compétences de chaque membre de l’équipe. Le rôle de chaque co-fondateur, futurs associés de l’entreprise,Il est également nécessaire de désigner la personne qui aura le rôle dereprésentant légal de la société et de dirigeant.


6. Définir sa stratégie commerciale.
La stratégie commerciale sert à définir de quelle façon l’entreprise réussira à intégrer le marché. Beaucoup d’entrepreneurs utilisent la méthode des 4P :
Price : il faut établir une liste de l’offre de produits et/ou services de son entreprise, les formules proposées et détailler les prix.
Product : un catalogue des biens et/ou services doit être dressé, avec leurs caractéristiques, leurs atouts de différenciation, les packs proposés, les offres promotionnelles…
Place : la stratégie de distribution doit être définie avec soin. Il faut déterminer par quels canaux l’entreprise vendra ses produits ou services.
Promotion : comment l’entreprise va faire pour se faire connaître, communiquer sa pub.

7. Business model.
Faire un business model, c’est déterminer le modèle économique de l’entreprise. Pour cela il faut mettre 2 tableaux en valeur, le chiffre d’affaires minimum espéré grâce au panier moyen d’un consommateur et aux nombres de ventes et il faut aussi montrer le plan de financement avec la totalité des besoins et les ressources déjà mobilisées.

8. Avoir un dossier vendeur.
Le dossier doit mettre en valeur les points forts du projet. Il faut que la personne qui le lis se dise, ce projet est parfait, il va tenir dans le temps. Il faut mettre tous les arguments forts en caractères gras ou soulignés au moment où ils sont énoncés, cela permettra d’influencer le lecteur et l’aider à structurer favorablement sa perception du projet.

9. Avoir un dossier précis.
Pour montrer que vous connaissez votre projet ainsi que votre industrie, il faut des données, des chiffres, mais avant tout il faut que ces données soient vérifiables, n’hésitez pas à indiquer les sources.
Pensez également à introduire un dossier annexe avec toutes les preuves, des devis, des entretiens téléphoniques…

10. Un dossier clair et bien structuré.
Pour finir il faut que votre business plan soit structuré, il faut que vous le connaissiez par cœur et que la personne qui va le lire le comprenne facilement. N’oubliez pas qu’à la moindre imperfection votre projet sera mis sur le côté, un investisseur reçoit plusieurs demandes par jour alors il faut que vous l’impressionnez.

La franchise tient lieu d’un accord juridique et commercial. Cet accord met en rapport une structure dénommée « franchiseur » et une autre appelée « franchisée ». La première s’engageant à fournir à la seconde, et en contrepartie d’une rémunération, un savoir-faire, une marque et une assistance permanente. Découvrons comment créer une franchise.

Choisir le secteur d’activité et faire une étude de marché

La base de votre projet de création de franchise doit reposer sur le choix du secteur d’activité dans lequel vous souhaitez investir. Aujourd’hui, la franchise s’étend à presque tous les domaines et vous n’avez pas forcément besoin de maîtriser ce domaine d’activité avant de vous y lancer. Vous devrez néanmoins prendre en compte les particularités de votre secteur d’activité. C’est à ce moment qu’intervient l’étude de marché qui vous précise si vous avez des chances de réussir dans ce que vous entreprenez. Cherchez aussi à en savoir plus sur la concurrence. C’est ce qu’on vous conseillera également sur ac-franchise.com.

Le choix du franchiseur

Devenir franchisé passe aussi par le choix du franchiseur. Vous devez tenir compte du domaine d’activité choisi pour faire votre sélection. Rapprochez-vous de chacun de ces chefs d’entreprise puis discutez avec eux de la pertinence et de l’originalité de votre concept. Ne manquez pas non plus de parler de la rentabilité, car il ne servirait à rien de vous engager dans un tel projet si vous ne pouvez pas y récolter des bénéfices. Effectuez des visites de terrain et tentez d’opposer les dires à la réalité.

Il est aussi recommandé de se rendre très régulièrement dans des salons spécialisés afin de prendre directement contact avec les dirigeants d’entreprises que vous visez. Choisir sa franchise implique par ailleurs de considérer la qualité des formations initiales et celle des formations complémentaires. La qualité de l’accompagnement et la fiabilité du réseau que vous allez bientôt intégrer comptent aussi. Pour maximiser vos chances de succès, la préparation d’un business plan pour une franchise est essentielle.

Le financement de votre projet

Le nombre d’euros alloués à votre projet dépendra principalement du domaine d’activité que vous aurez choisi. Vous pourrez ainsi ne dépenser que quelques centaines d’euros, comme vous pourrez bien vous retrouver au million d’euros. Dans tous les cas, si vous avez pour objectif de devenir la meilleure franchise de votre zone, vous devrez y mettre les moyens. Commencez par un budget prévisionnel. Il comprend tous les éléments de votre étude de marché et tous les éléments comptables qui ont été mis à votre disposition par votre franchiseur. Entourez-vous de spécialistes de la finance pour que cette étape de prévision du budget soit réussie.

Précisons que vous devez contribuer personnellement au budget à hauteur de 30 % au moins du montant total de l’investissement. Bouclez ensuite le financement de votre projet en vous rendant auprès des organismes bancaires et auprès des différents dispositifs d’aide aux créateurs d’entreprises. Afin que toutes les chances soient de votre côté, prévoyez un business plan. Un business plan pour une franchise complet et bien élaboré est un atout majeur pour convaincre les investisseurs.


Certes, lors de la création de sa société, la question qui se pose est « quel statut pour mon entreprise ? ». Or, le statut n’est pas la seule formalité juridique nécessaire à une entreprise. Le Règlement Général sur la Protection des Données ou RGPD en est une autre. Afin de s’assurer de la conformité RGPD de son entreprise, découvrez à l’issu de cet article comment procéder.

Effectuer un suivi de tous les traitements

Chaque traitement effectué sur une donnée personnelle doit être sauvegardé dans un registre spécifique approprié, tenu par un responsable désigné. Toutes les informations le concernant doivent être inscrites à l’intérieur de ce document, y compris les différentes personnes autorisées à manipuler le registre telles que : l’assistant du responsable, son représentant vis-à-vis de la protection des données. Ce fichier doit également contenir les données personnelles concernées par le traitement, son motif, les coordonnées de leurs titulaires respectifs, les personnes ou les entités à qui ces informations ont été transmises, les mesures de sécurité et la durée de conservation de ces données confidentielles. Veillez à ce que ce registre soit tenu à jour.

Pour savoir comment créer son entreprise de manière légale, découvrez les 6 points essentiels à connaître pour créer votre entreprise.

Respecter les droits des titulaires de ces données

Le propriétaire des données doit être informé des conditions régissant l’utilisation de ses données. Lorsque vous recueillez les informations personnelles d’une personne, vous devez vous identifier, lui expliquer le motif de la collecte de données, votre autorisation à accomplir cette tâche, etc. Le plus important est d’obtenir l’accord de la personne concernée.

Tous les propriétaires des données personnelles possèdent différents droits dont l’accès, la modification, l’opposition, la suppression, la portabilité et la limitation.

Instaurer des mesures de protection de données

Afin de garantir la confidentialité des données personnelles, il vous appartient de prendre les dispositions de sécurité nécessaires. Une violation peut engendrer de graves conséquences pour votre entreprise, surtout si l’incident provient d’une faille de votre système de sécurité. Pour cela, vous pouvez, par exemple, protéger l’accès à ces informations par des authentifications spécifiques.

Pour réduire les risques, vous devez octroyer à chacun de vos agents un login et un mot de passe complexe tenu à jour régulièrement. Réservez l’accès aux données personnelles pour les agents dont les missions y affèrent et désactiver leur identifiants à leur débauche. Si malgré vos efforts, les données ont été violées, avisez directement la CNIL au plus tard 72 heures suivant l’incident.

Avez-vous l’intention de créer une société ? Si oui, avez-vous aucune idée du statut qui sera attribué à votre nouvelle entreprise ? La Société par actions simplifiée, connue sous l’abréviation SAS fait partie des formes juridiques et sociales très sollicitées si vous voulez garantir le bon fonctionnement de votre entreprise.

Les principales caractéristiques d’une SAS

Le régime SAS fait partie des sociétés à responsabilité limitée si l’on se réfère aux systèmes d’apports des actionnaires. Cette forme est très pratique, car le code de commerce n’a prévu que quelques règles pour sa régie. Les associés sont donc libres de choisir les points sur lesquels ils vont se mettre d’accord. Cependant, il faudrait être vigilant en ce qui concerne les statuts après sa rédaction, afin d’éviter les conflits et les blocages divers dus aux manques d’études et d’anticipations. Une société par actions simplifiée doit disposer d’au moins deux associés qui peuvent investir un capital variable en fonction de leur possibilité. Sachez que Gojee vous aide à créer votre SAS pour éviter les surprises et les manquements aux règlements lors de la création de votre société.

Les différentes règles au sein d’une SAS

Concernant la gestion de l’entreprise, sachez qu’une SAS est gérée par un président qui doit être nommé à la création de la société. En effet le nom de ce dernier doit figurer dans le statut rédigé pour la création SAS. En cas de changement, ce qui a été rédigé dans le contrat peut être modifié et mis à jour. D’autres dirigeants comme le directeur général et le délégué du personnel peuvent également être désignés, mais ce n’est pas obligatoire. Pour chaque décision, les associés doivent décider ensemble de telle sorte que les décisions de majorités devront être effectivement appliquées. La cession des tiers et la transmission par décès englobent la transmission des titres, puisque la loi de commerce ne stipule pas ce qu’il faudra faire dans ces circonstances. Les clauses dans ces situations devront être mentionnées dans le statut. Ainsi, créer une SAS est idéale pour les entrepreneurs qui souhaitent attirer l’attention des investisseurs.

Quel type de fiscalité pour une SAS ?

Comme toute société, la SAS est soumise à l’impôt sur les sociétés, mais il se peut également qu’elle soit soumise à l’impôt sur le revenu sous quelques conditions : il est valable pour une société qui exerce une activité industrielle et commerciale. Par contre, l’impôt est toujours calculé à partir du bénéfice de la société. Sachez que les personnes physiques comme les associés sont également assujetties aux impôts dans une société par actions simplifiée.

La Société en Nom Collectif est une forme juridique d’entreprise peu connue dans le monde des affaires. Ceci vient du fait qu’elle est réputée coercitive en termes de responsabilités des associés. En effet, oblige à ces derniers à supporter les éventuelles pertes de façon solidaire et illimitée. Ces règles invitent à une mûre réflexion et c’est logique. Toutefois, la Société en Nom Collectif possède également des atouts intéressants.

La définition d’une société en nom collectif

Avant d’entrer dans le vif du sujet, il est important d’apporter une définition claire et précise de ce qu’est vraiment la SNC. La Société en Nom Collectif est une société de personnes dont les associés sont tenus de manière personnelle et solidaire sur toutes les dettes sociales de l’entreprise. Le commun accord des associés est requis pour céder les parts sociales dans les SNC. La création d’une Société en Nom Collectif nécessite au moins 2 associés, mais la loi n’a fixé aucun nombre maximal. Ils ont la qualité de commerçant et doivent être tous majeurs. Vous pouvez visiter le site gojee pour connaître un peu plus sur les formalités juridiques de ce type de société.

Les caractéristiques de la SNC

L’un des atouts majeurs de la SNC est sa simplicité. Elle peut être constituée valablement avec seulement 2 ou 3 associés. Aucune législation ne stipule le capital minimum pour la création d’une société en Nom Collectif. Le patrimoine des associés répond aux gages des créanciers et non les avoirs de la société. À cause de la responsabilité partagée face aux dettes sociales, choisir la SNC comme forme juridique équivaut à une dévotion et compétence accrue de la part de ses membres. Tous les associés s’impliquent totalement dans la structure. Tous les associés sont gérants. De ce fait, la signature sociale est repartie à chacun de ses membres. Cependant, à défaut d’une désignation dans les statuts, la nomination d’un ou plusieurs gérants peut se faire ultérieurement.

Les avantages et les inconvénients de cette forme de société

La Société en Nom Collectif est le meilleur choix pour les associés qui ont déjà des bons liens de confiance et de connaissance, une exploitation familiale par exemple. Cette forme est attirante sur le plan fiscal et comptable, car elle n’est pas soumise à l’impôt sur les sociétés. La Société en Nom Collectif donne une grande stabilité des gérants associés qui sont congédiables par une décision unanime des associés. Le fort intuitu-personae de la SNC permet de choisir les associés en limitant la cession des parts uniquement avec l’accord de tous les associés. Cependant, ces derniers sont tenus de manière solidaire en matière de responsabilité dans une SNC.

Lors de la création d’une entreprise, il faut absolument suivre des étapes consécutives pour la constitution des différents dossiers requis dans cette démarche. Effectivement, diverses formalités doivent être accomplies normalement pour créer une société civile.

Définition d’une SCI et délimitation de ses fonctions

Conformément à des précisions évoquées dans le droit des sociétés, il a été spécifié qu’une entreprise société civile désigne une société à vocation non commerciale. De cette manière, à l’issue de la création d’une SCI, elle reste réglementée par le droit civil. Autrement dit, une SCI n’est pas autorisée à effectuer des opérations commerciales avec plus-value étant donné que son objet social n’est pas commercial. Elle a été créée pour gérer un patrimoine immobilier. Par ailleurs, la gestion des dossiers contentieux de cette catégorie de société est confiée aux tribunaux civils de la localité où se situe la résidence de la société. Il faut aussi noter que lors de la rédaction de son statut toutes les mentions des activités en dehors du cadre civil doivent être absolument évitées, sinon toute demande d’immatriculation de la société sera rejetée systématiquement. À cet effet, créer une SCI relève de la prudence au moment de la mise en forme de son statut. Pour en savoir plus, cliquez ici.

Diverses étapes pour la création d’une SCI

En plus du dépôt du statut auprès du CFE ou Centre de Formalités des Entreprises, il est aussi fort indispensable de faire le placement du capital social sur un compte bloqué auprès d’un établissement bancaire. En outre, chacun des dirigeants de la SCI doit remettre entre les mains du greffier une déclaration de non-condamnation et de filiation en appui de la demande d’immatriculation se rapportant à la création d’une SCI. D‘autant plus, chaque personne physique assumant le contrôle effectif de la société civile doit faire l’objet d’une déclaration. Bien entendu, à l’issue de l’accomplissement de toutes ces formalités administratives, une publication dans un journal des annonces légales s’avère nécessaire.

Différentes formes d’apparition de la SCI

Pratiquement, il est possible de distinguer plusieurs formes de société civile, mais les plus rencontrées sont celles qui suivent : en premier lieu se trouve la SCM ou Société Civile de Moyens destinée au regroupement des gens assumant des professions libérales. En seconde position se situe la SCI qui sera en charge de la gestion d’un patrimoine immobilier. Il vient ensuite la Société Civile d’Exploitation Agricole ou SCEA permettant l’association des non-exploitants pour l’exercice d’une activité agricole.